Un lieu dédié à la création.
Les Chasseurs de Gravité se sont retrouvés du 22 au 29 juillet, accueillis par Emmanuel Briand and Co au Dojo, lieu de fabrication, d'action, de réflexion, d'écriture, d'échanges...
Croisant des artistes du collectif patch_work, du Dojo, dans une ambiance conviviale et pleine d'une effervescence créatrice, l'équipe d'artistes de coda norma s'y est réunie autour du projet Les Chasseurs de Gravité.
De beaux moments de complicité...
Mathilde Murat avec l'installation interactive eNtre |
Porte et Peau. Une installation en construction de Catherine Camusso |
Malika Gessinn, présente avec ses pantins |
Fabienne Larroque, danseuse,chorégraphe et directrice artistique du projet |
Anne Bacquié, réfléchissant au costume qui rendrait la danseuse invisible... |
Photo par Catherine Camusso |
Photo par Catherine Camusso |
Photo par Catherine Camusso |
La dramaturgie proposé par Alem Surre Garcia, tente de répondre à la question posée en préambule de ce projet :
COMMENT LA NOTION DE GRAVITE NOUS TRAVERSE-T-ELLE ?
Comment affronter la pesanteur et s'en libérer ? Deux acteurs l'incitent à se libérer : un danseur non-voyant (Celui qui voit réellement), maître des trois portes et du transfert ; une marionnettiste, maîtresse des allégements et des suavités. Le corps mobile se fait plume...
Ce spectacle constitue le deuxième volet d'une trilogie consacrée à l'imaginaire inspiré des Mille et une Nuits (Mila nuèits e una de mai).
Helen Thomas, administratrice de coda norma, conclut la réunion autour de
la production : les partenaires à ce jour sont le CDC Midi-Pyrénées et le Centre Culturel Bellegarde à Toulouse, où Les Chasseurs de Gravité sont accueillis en 2016 dans chacune des structures pour deux résidences 15 jours.
Un plan de prospection auprès de co-producteurs est en marche.
Les actions de médiation auprès de divers public, comme personnes mal-voyantes et mal-entendantes sont à l'étude, en partenariat avec le Centre Culture Handicap et un artiste sourd-muet.
La Gravité en langue des signes par Sj Rideaf
Sauf indication, les photos sont de Claire Sauvaget,
artiste plasticienne du collectif patch_work